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Mercredi 2O septembre : Voyage vers Guayaquil ( Malo)
Aujourd’hui, nous avions prévu de quitter Cuenca, que nous avons beaucoup apprécié, pour Guyaquil, réputée comme dangereuse.
Nous avons donc commencé la journée par le petit dej avant de dire au revoir à nos amis belges pour aller prendre le bus. Guyaquil était seulement une escale d’une nuit avant les Galapagos, c’est pourquoi, en arrivant, nous avons voulu directement voir le centre ville et un peu toutes les choses qu’il y a à voir dans cette ville. Nous avons donc pu voir : le Malecon (la promenade des anglais équatorienne avec sa grande roue), un parc avec des iguanes (un avant goût des Galapagos) et la rue principale du centre ville. Mais mauvaise surprise, en rentrant à notre hôtel, tenu par un Français, nous avons reçu un mail nous indiquant que notre vol du lendemain était annulé…
Un peu perturbés par cette annonce, nous sommes allés manger dans un resto de barbecue avec des supporters de l’équipe de foot locale, Barcelona (si, si, c’est le vrai nom) qui disputait son quart de finale retour de la ligue des champions sud-américaine contre Santos, une équipe brésilienne, et qui s’est qualifiée ! Il y avait une sacrée ambiance au moment du but et à la fin du match c’était assez tendu puisque la partie s’est terminée à 9 contre 10. Après le match nous sommes rentrés nous coucher, avec l’esprit occupé par l’idée de retrouver un avion pour les Galapagos avant samedi prochain.
Jeudi 21 septembre : Une journée d’attente au Sheraton (Saïk)
Ce matin nous avons pris le petit déjeuner 🥞, il était copieux 😃😃😃😃😃 et très bon 😋. Il y avait des fruits, des œufs, de la confiture et plein d’autres choses encore. Puis nous sommes partis en taxi à l’aéroport avec papa et maman pour essayer de comprendre pourquoi notre vol pour Les Galapagos avait été annulé.
Pendant ce temps, Malo est resté à l’hôtel faire des maths. Après une longue discussion, nous avons finalement réussi à avoir des billets pour demain matin. Mais comme papa et maman ont fait remarquer que nous perdions une journée aux Galapagos, la compagnie Tame a décidé de nous accorder une petite faveur et de nous offrir une nuit 🌙 au Sheraton de Guayaquil en compensation. C’est la première fois que je me retrouve dans un hôtel comme celui-ci. C’est vraiment luxueux 😱🤑🤑🤑🤑🤑🤑😉🍾🍹🏊🏻♀️.
Nous avons deux grandes chambres et il y a même une grande piscine dans l’hôtel. Un bonheur ne venant jamais seul, on nous offre tous les repas. Ce midi, nous avons mangé un almuerzo (du riz, de la viande et des légumes), sauf que cela n’avait rien à voir avec les autres jours. C’était excellent même s’il n’y avait pas de dessert. Le riz avait le goût d’un risotto, comme celui que maman nous fait à la maison et la viande était hyper bonne. En face de l’hôtel, il y a un immense centre commercial. On se croirait au Centre Alma à Rennes !!!!! Du coup, on en a profité pour acheter des masques et des tubas pour les Galapagos. Nous avons également mangé une glace au caramel (7,5/10 au glaciométre des Gourm trotters). 😀😄😁😅😂🤣👍👍🏻👍🏿. À notre retour, nous nous sommes baignés dans la piscine afin de nous entraîner avec les masques et les tubas avant de prendre un très bon 😋 repas 🥘 à base de thon et de riz 🍚. Finalement même si ce n’était pas les Galapagos, elle était plutôt sympa cette journée au Sheraton de Guayaquil.
Vendredi 22 septembre : Arrivée aux Galapagos (Estelle)
Nous avons quitté le Sheraton… dans l’expectative. Allons-nous aujourd’hui avoir un vol pour les Galapagos ?
Oui… vol confirmé en fin de matinée. Mais avant il faut passer plusieurs contrôles de douane : nos sacs sont passés au peigne fin. Nous devons arriver les plus propres et stériles possibles. Le backpacker devant nous est prié d’aller désinfecter ses chaussures.
Saïk est tendu comme une arbalète, c’est toujours un peu pareil quand on prend l’avion. Au départ c’était par crainte du voyage dans les airs mais désormais c’est plus par crainte du retard ou de l’imprévu matériel.
Nous devons payer une première taxe de 20 dollars par personne.
Finalement, nous n’avons pas perdu au change en attendant notre avion une journée de plus : nous voyageons sur Avianca… un avion avec des tablettes individuelles! Les enfants sont ravis.
Deux heures plus tard, nous atterrissons sur « le premier aéroport écologique du Monde » (c’est écrit !) : Baltra. Cette petite île au nord de la grande Santa Cruz n’accueille que l’aéroport .
Le décor nous place tout de suite dans l’ambiance : une zone arride parsemée de roches volcaniques d’où émergent des cactus immenses.
Nouveau contrôle des bagages : le chien renifleur ne jette pas son dévolu sur nos sacs … pourtant certains commencent à être odorants.
Nous devons nous acquitter d’un nouveau droit d’entrée de 100 dollars pour les grands et 50 pour chacun des deux petits.
On s’entasse dans un premier bus qui nous amène au bout de l’île (20 minutes). Nous prenons ensuite une barge pour traverser le canal qui rejoint Santa Cruz l’île principale. Les eaux sont limpides, les poissons nous accueillent en frétillant.
Il nous reste 50 minutes de bus pour rejoindre la zone habitée nommée Puerto Ayora.
Un spectacle fabuleux s’offre à nous. Nous passons en 40 km d’un paysage aride puis désertique à une zone humide tropicale sur les hauteurs de l’île pour atteindre ensuite son extrémité sud où nous allons poser nos valises. Sur le bord de la route des panneaux signalétiques préviennent de la traversée de tortues.
Nous posons nos sacs dans un hôtel relativement confortable : la propriétaire de l’auberge de jeunesse où nous avions prévu de séjourner nous a surclassé car son hostal était complet. On bénéficie également de ses conseils pour organiser notre séjour condensé en six jours.
Pas de temps à perdre, il est 16 h, nous filons au Centre de Darwin à 5 minutes en taxi : c’est un centre de recherche et de protection des tortues. C’est la première rencontre des enfants avec ces géantes préhistoriques : Malo les imaginait plus grandes, les petits se chamaillent . Enfin bref, c’est pas le coup de foudre entre nos enfants et les habitants des Galapagos ! On n’est un peu désabusé par leur attitude.
L’enthousiasme revient lorsque sur le chemin du retour on rencontre pélicans, poissons tigrés et frégates autour des petits bateaux des pêcheurs.
Merlin mangerait bien une des langoustes présentés par les pêcheurs. On sait que le budget risque d’exploser ici, alors on modère sa gourmandise. Et on file au super marché acheter un paquet de pâtes et trois tomates. C’est déjà très cher ( des prix américains, on a perdu l’habitude). Notre plat de pâtes avalé, les enfants filent au lit. Avec Yves, on essaie de programmer au mieux les jours à venir. Plongée ? oui mais sans risque pour les enfants… Avec combinaison ou sans…? Quel site ? Un joli mais pas trop coûteux… Nous câlons la journée de demain et filons vite rejoindre les enfants.
Samedi 23 Septembre : Exploration de Santa Cruz (Malo)
Cette première journée aux Galapagos s’annonçait très chargée pour rattraper notre journée perdue par le vol annulé. Nous nous sommes levés à 7h pour pouvoir prendre un taxi qui nous emmenait faire un tour dans des cratères, des tunnels de lave et dans une ferme de tortues en liberté. Nous avons donc commencé cette suite d’activités par les cratères jumeaux, formés par de la lave. Ils étaient situés en plein milieu d’une forêt, on a donc bien pu profiter de la balade autour des cratères autour des arbres et des oiseaux. La balade terminée, nous avons continué par la ferme aux tortues. Je n’avais jamais vu de tortues aussi grandes de toute ma vie! Elles étaient assez craintives et avaient l’air vraiment très vieilles. Malgré cela, nous avons quand même bien pu les observer se déplacer lentement et se prélasser dans la boue. Nous sommes ensuite partis dans le tunnel de lave, un tunnel, long de 800m, formé par une éruption volcanique. Pour pouvoir traverser tout le tunnel on a même du ramper, tellement le plafond était bas par endroits!
La matinée terminée, nous avons déjeuné avant de prendre un bateau pour nous emmener à la « plage des Allemands », où nous devions commencer à marcher jusqu’à la crevasse remplie d’eau dans les rochers de « Las Grietas » où nous avons fait du snorkelling. C’était vraiment magnifique, je ne m’attendais pas à ça. L’eau était d’une clarté malgré sa profondeur et les poissons quand même assez gros: c’est vraiment ce à quoi me faisait penser les Galapagos!
Après cette superbe et courte plongée (pas plus de 15 mn car l’eau est très froide) nous sommes retournés à la plage des Allemands (l’eau y est plus chaude) où nous nous sommes baigné une bonne heure avant de remettre le cap sur le port. Après les douches à l’hôtel, nous sommes allés acheter nos billets de Ferry (en fait, c’est un tout petit bateau !) pour partir sur l’île d’ Isabela le lendemain et faire des courses pour préparer à manger à l’hôtel.
Dimanche 24 septembre : On change d’île. A nous Isabela (Yves)
Après deux premières journées bien remplies à Santa Cruz, nous décidons de mettre le cap, ce dimanche, sur Isabela, la plus grande île de l’archipel.
Nous quittons l’hôtel à 6h45 pour rejoindre à pied le port de Santa Cruz. Avant d’embarquer, tous les passagers sont soumis à une fouille de leurs sacs. Ici, ce n’est pas la drogue que l’on traque, mais les graines, les fruits, les boutures et… la boue restée collée aux chaussures après une rando.
L’eco système reste fragile aux Galapagos et la hantise des autorités est de voir une plante invasive installée sur une île débarquer sur l’île voisine où elle ne serait pas la bienvenue. Au début du siècle, il a suffi de quelques graines de papaye transportées par inadvertance de Santa Cruz à Isabela pour que cette dernière colonise toute une partie de l’île. Du coup, cela ne rigole pas. Une partie des sacs est fouillé manuellement. Et un chien policier inspecte l’ensemble des sacs avant l’embarquement.
Il faut un peu moins de 2h30 pour relier les deux îles en bateau, mais à en juger par la minutieuse distribution de sacs à vomi par le capitaine avant notre départ, nous comprenons que le trajet n’aura rien d’une partie de plaisir. Le capitaine nous recommande même d’installer Saïk et Merlin à l’extérieur du bateau afin qu’ils restent au grand air.
Mais nous avons de la chance, la mer est relativement calme ce dimanche matin et malgré quelques soubresauts la traversée se passe relativement bien. Ce qui n’empêche pas Estelle de pousser un grand ouf de soulagement à notre arrivée à Puerto Villamil. Car elle commençait à ne plus se sentir très bien. Il n’aurait pas fallu que la traversée dure un quart d’heure de plus.
À notre arrivée au port, nous sommes accueillis par une famille d’otaries, nos premières iguanes marines et… par le propriétaire de notre hôtel qui est venu nous chercher avec un taxi. Nous sommes touchés par son attention, mais ce dernier nous laisse très vite en plan avec le taxi pour aller chercher d’autres clients et nous faisons l’erreur de débutants de ne pas demander le prix de la course avant d’embarquer nos sacs. Résultat : à l’arrivée le chauffeur nous réclame 5 dollars pour à peine un kilomètre. Et le gérant de l’hôtel à disparu. GGGrrrrrr !
Puerto Villamil ne ressemble en rien à Puerto Ayora. C’est beaucoup moins touristique. Et comme nous sommes dimanche, la ville a presque des allures de ville fantôme avec ses routes en sable et ses maisons en bois.
Nous trouvons néanmoins un petit resto d’ouvert sur le front de mer où nous nous offrons notre premier ceviche de notre voyage. Aussi près de l’océan, cela aurait été bête de s’en priver.
En début d’après-midi, nous nous lançons en quête d’une agence pour visiter le site de los Tunneles, le lendemain. On nous a prévenus que les tours se négociaient entre 90 et 100 dollars par personne. Mais c’est notre jour de chance, nous tombons sur un gars qui vient de fermer son agence pour aller jouer au foot. Il est pressé, tout en étant conscient de l’aubaine de récupérer cinq clients alors qu’il n’a pas prévu de travailler de l’après-midi. Il nous propose le tour à 80 dollars et pour achever de nous convaincre il décide de nous prêter cinq combinaisons pour aller nous baigner à La concha de perla, une petite anse avec des otaries dans l’après-midi. Emballé c’est pesé !
Nous ne regrettons pas notre choix car l’endroit est vraiment très sympa.
Pour arriver jusqu’à là-bas, nous sommes même obligés d’enjamber plusieurs otaries qui se dorent au soleil. Nous nous en profitons pour nous offrir une nouvelle séance de snorkeling au milieu des poissons. L’eau n’est pas très chaude, mais avec les combinaisons, cela passe.
À notre retour à l’hôtel, nous passons un long moment à discuter avec Alice et Alan, un jeune couple de Français lancés dans un Tour du monde culinaire dans le même sens que nous (behindthetablier.wordpress.com) Ils sont partis d’Alaska fin juin. L’hôtel plait visiblement aux Français puisque nous y rencontrons également Marielle et Nicolas qui viennent de Perpignan (marlenenicolas.treckaventure.com). Eux remontent du sud et c’est sympa de pouvoir partager avec eux quelques bonnes adresses.
En fin d’après-midi, nous laissons les garçons devant le terrain de foot situé à deux pas de notre hôtel. Visiblement, c’est le principal lieu de vie de Puerto Villamil en ce dimanche. Les matches de succèdent à un rythme effréné avec des arbitres officiels. Après les hommes, c’est au tour des femmes d’entrer en jeu. Les garçons se délectent du spectacle.
Pendant ce temps, nous en profitons pour nous offrir une balade au bord d’une lagune de sel puis sur le front de mer avec Estelle. Nous y apercevons même notre premier flamand rose.
À notre retour, nous retrouvons les garçons toujours aussi passionnés par les matches de foot féminin. À la mi-temps de chaque match, ils rentrent même sur le terrain pour taper quelques balles avec de jeunes Equatoriens.
Nous finissons la soirée autour d’une platée de riz en rêvant déjà de notre virée du lendemain à Los Tunneles.
Lundi 25 octobre : Sortie à Los Tuneles (Malo)
Pour cette journée, nous avions prévu d’aller dans un des endroits les plus mythiques des Galapagos, Los Tuneles (un lieu où les éruptions ont formé des ponts de lave dans l’eau où évoluent des tortues, des raies, des requins et plein d’autres espèces marines). Nous nous sommes donc levés assez tôt, pour pouvoir prendre le petit dej avant que notre guide ne vienne nous chercher en voiture. Nous nous sommes ensuite équipés en palmes et combinaisons avant de prendre le bateau pour 3/4 d’ heure jusqu’aux tunneles. Au bout de 30 mn, nous nous sommes arrêtés en pleine mer observer des oiseaux endémiques des Galapagos (les fous de Nazca) et des otaries se reposer sur un rocher.
Une fois arrivés aux Tunneles, nous sommes sortis du bateau pour observer des fous à pattes bleues (oiseau mythique aux pattes bleues) et des tortues marines dans cet endroit magnifique et assez impressionnant formé par la nature et les volcans. Après avoir pu observer ces paysages extraordinaires, nous allions observer les fonds marins un peu plus loin.
Nous avons donc repris le bateau pour arriver à la zone de plongée. Nous avons ainsi pu voir, de tout près, des tortues, une grande raie, des hippocampes et une vingtaine de grands requins… C’était vraiment magique, on se serait cru dans un film. L’eau étant froide nous avons, au bout d’une heure, repris le bateau pour rentrer au port. Pendant l’après-midi, nous sommes allés voir une ferme de tortues terrestres et avons fait un foot avec des Equatoriens avant de manger et d’aller nous coucher, fatigués, à 20h30 tout en pensant aux choses incroyables que nous avions vu plus tôt dans la journée.
Mardi 26 septembre : Ascension du volcan El Chico (Merlin)
Nous nous sommes levés encore de bonne heure pour aller voir deux volcans : le Sierra Niegra (avec ses dix kilomètres de diamètre, c’est l’un des plus grands cratères du monde) et le volcan El Chico. Il s’appelle comme ça (ça veut dire enfant en espagnol) parce qu’il est plein de petits cratères. La randonnée a été longue : 18 km sous le soleil et dans les pierres volcaniques. Moi qui rêvait de monter sur un volcan, je suis content d’avoir pu faire cette marche.
Après nous avons pris le bateau pour Santa Cruz. Malo a eu le droit de monter sur le pont supérieur avec le capitaine. Pendant ce temps j’ai fait une sieste serré contre Maman. Et papa a discuté avec un sympathique couple de Français qui voyagent pour six mois en Amérique du sud ( http://www.byebyeroutine.com )
A Santa Cruz le soir, nous avons mangé du poisson et de la langouste pour fêter les 13 ans de mariage de papa et maman. C’était bon !
Mercredi 27 septembre : Vamos à la Playa à Tortuga Bay (Estelle)
Nous nous accordons ce matin un réveil naturel. Les enfants apprécient mais sont cependant réveillés dès 7h30. Nous prenons le temps de faire un peu de rangement, de déposer du linge et surtout de vérifier que nos vols du lendemain sont maintenus (on se méfie de la Tame maintenant- la compagnie équatorienne qui doit nous ramener sur le continent ; et on craint quelques désagréments avec Avianca pour notre vol suivant vers le Pérou car une grève des pilotes a lieu depuis quelques jours). Normalement tout est Ok pour nous demain.
L’esprit libéré, nous partons donc découvrir Tortuga Bay – une longue plage exposée à de gros courants – paradis des surfeurs mais surtout des tortues qui viennent pondre sur la plage. Il faut marcher une petite heure pour accéder à cette plage isolée : le décor est fabuleux. Notre surfeur (Malo) ne parle cependant même pas de taquiner la vague (premièrement, il n’a pas de planche, et deuxièmement il se rend compte par lui-même de la dangerosité de la mer). Au bout de la plage, on découvre toute une colonie d’iguanes marins qui se prélassent au soleil. C’est fabuleux de les voir évoluer. Les enfants sont émerveillés par leur aisance aquatique.
Juste derrière la mangrove se cache un bassin naturel hyper calme et sûr. Le sable blanc nous invite à nous poser, à sortir le pique-nique et à nous prélasser trois heures durant à l’abri des arbres endémiques. Les enfants jouent à imiter les iguanes et nous, on profite de ce temps de farniente.
A 16h, nous prenons le chemin du retour. On rentre boucler nos sacs. Saik insiste pour aller faire les boutiques de souvenir : il a en tête d’investir dans une tortue (mini et en bois). Les prix affichés ne conviennent pas à son budget. On lui donne quelques conseils, quelques phrases types et il part négocier seul. Il sort du magasin triomphant. Il a eu sa tortue à 6,5 dollars eu lieu de 8 !
On devrait l’envoyer plus souvent négocier pour nous, car à ce jeu là, Yves comme moi ne sommes pas très forts.
C’est l’heure de rentrer pour une dernière nuit au Pays des Tortues.
Jeudi 28 septembre : By-bye les Galapagos (Estelle)
Notre départ était prévu à 10h40, on part avec deux heures de retard. Dans notre avion, on retrouve Jennifer et Maxime, les deux français qui ont dit bye bye à la routine. Ils étaient pourtant enregistrés sur le vol suivant !!! Décidément, la gestion de la Tame est assez incompréhensible. On ne cherche pas d’explication, on embarque. D’autant qu’on a largement le temps de prendre notre vol suivant prévu à 18h pour Lima.
Celui-ci est annoncé à l’heure. Et deux heures plus tard, on arrive au Pérou. Voilà la page de l’Equateur refermée.
Les photos
Bonjour
merci de nous faire partager vos commentaires et photos sur l’Equateur; Tout comme nous, vous avez apprécié ce pays ! Bonne continuation dans votre voyage . Christine et Philippe Florent ( que vous avez connu à Quito chez Paco et Elena )
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Des photos qui font rêver ! Ça change de la grisaille automnale en Bretagne !
Bon périple ! Prenez-en plein les yeux !
Yves n’oublie pas revenir pour sortir le SRFC de l’ornière 😉 !
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On est fan de la vidéo de Saïk ! Bien sympa vos articles, ça nous a permis de voyager à Los Tuneles ainsi qu’au volcan Sierra Negra 😉
(de notre côté on est un peu plus en retard !)
Profitez bien du Pérou !
Alice & Allan
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On vient de faire la lecture de vos aventures aux Galápagos avec les enfants. C’est pour l’instant la partie du voyage que Clément préfère: tellement d’animaux magnifiques!
Continuez de nous et de vous régaler!! Bisous. Les Mingot
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