Java des volcans et des temples

 

Les photos

Dimanche 4 mars : Traversée vers Java (Yves)

Bye, bye, Bali. Après une semaine de rêve entre mer et rizières, nous quittons ce dimanche l’île aux milles couleurs pour mettre le cap sur Java. Avec le recul, on se dit qu’on aurait presque pu rester quinze jours à Bali, tant on s’y est senti bien. Mais notre avion pour les Philippines s’envole de Jakarta dans une semaine. Il faut donc continuer à gambader. Et puis le programme qui nous attend à Java est alléchant, lui aussi.
En attendant, c’est une longue route qui s’offre à nous pour rejoindre Banyuwangi, au sud de Java, où nous avons réservé une auberge de jeunesse pour toute la famille.
Il faut environ quatre heures de route pour relier Ubud à Gilimanuk, à l’ouest de Bali, où se trouve le terminal de ferries. Du coup, nous avons fait appel à Dusty, le chauffeur qui nous avait conduit le premier jour de l’aéroport jusqu’à Amed. Son mini-bus était plutôt confortable et le prix qu’il propose pour transporter notre famille nombreuse est tout à fait raisonnable.
Nous lui avons donné rendez-vous à 9 h. Il est pile 9 h, lorsque ce dernier gare son mini-bus devant notre villa. Difficile d’être plus ponctuel. À son arrivée, ce dernier nous révèle qu’il a pris la route à… 6 h 30 pour être sûr d’arriver à l’heure ! Les Balinais sont décidément des gens adorables !
Il faut environ 4 heures pour effectuer les 127 kilomètres séparant Ubud de Gilimanuk (NDLR : Romain Bardet irait plus vite avec son vélo). Malgré la présence de quelques singes sur le bord de la route et plusieurs kilomètres sur le front de la mer, nous sommes tous heureux d’arriver à Gilimanuk peu avant 13 h.
Certains ont le ventre qui gargouille comme dirait Merlin, mais nous décidons néanmoins d’embarquer dans le premier ferry qui se présente à nous. Nous sommes les seuls touristes dans le coin et notre présence ne passe pas inaperçue. Plusieurs Indonésiens nous interpellent et nous demandent s’ils peuvent être pris en photo avec nous. Serions-nous devenus des stars à notre insu ?
En nous quittant, Dusty nous souhaite une bonne fin de voyage et nous met en garde contre les Javanais beaucoup moins « gentils » à l’égard des touristes que les Balinais. Nous le remercions pour sa mise en garde en nous disant que décidément l’enfer c’est toujours les autres. En Equateur, on nous disait de nous méfier des Colombiens. Au Pérou, des Boliviens. En Argentine, des Chiliens. Au Chili, des Mapuches… Sommes-nous des gens chanceux ? Toujours est-il que partout où nous sommes passés, nous avons surtout rencontré des gens sympas et bienveillants depuis notre départ.
En revanche, s’il y a bien un qualificatif qui ne cadre pas forcément avec l’état général de notre ferry. C’est bien celui de sympa. Ce dernier est rouillé de partout et on se dit qu’il ne faudrait pas forcément grand chose pour que ce dernier se transforme en Titanic. Heureusement, la traversée entre Bali et Java est très courte (une quarantaine de minutes). Et encore, nous avons bien patienté un quart d’heure à cent mètres du quai en attendant qu’une place se libère avant d’accoster.
Belle surprise à notre arrivée à quai, Dannu, le propriétaire de l’auberge de jeunesse où nous avons prévu de dormir, ce soir, nous attend avec sa voiture. Je lui avais adressé un petit message en quittant Ubud en lui disant que je le recontacterai pour qu’il vienne nous chercher lorsque nous arriverions à Ketapang. Ce dernier me dit qu’il a préféré anticiper le mouvement et que cela fait… deux heures qu’il nous attend. Et Dusty qui nous avait mis en garde contre l’hostilité des habitants de Java !!!!
Sur le chemin qui nous conduit à son auberge de jeunesse, Dannu me raconte qu’il a vécu plusieurs années en Suède (où vivent d’ailleurs ses trois enfants) et que cela ne fait que huit mois qu’il est revenu s’installer à Banyuwangi, d’où il est originaire. La ville qui jouxte le port de Ketapang compte cinq millions d’habitants (c’est bien plus que la Bretagne) et un aéroport international doit ouvrir au mois de septembre, ce qui devrait, selon lui, contribuer à développer le tourisme.
et7kBYTTTI+P%XCNyAroeABien sûr, ce n’est pas le luxe des derniers jours à Ubud, mais son auberge de jeunesse est nickel pour des gens qui, comme nous, ont programmé de se lever à minuit pour escalader le volcan Kawah Ijen. Surtout Dannu est d’excellent conseils. Lorsque nous lui annonçons le programme que nous avons prévu de faire lors des trois prochains jours (Ijen, Bromo…), il se propose de tout prendre en mains, y compris la gestion des transports d’une ville à une autre. Autant à Bali, nous avions tout anticipé. Autant là, nous débarquons un peu la fleur au fusil. Or, on n’organise pas le voyage de dix personnes comme celui d’une famille de cinq. Son tarif défiant toute concurrence, nous décidons du coup de lui confier les rênes de notre périple jusqu’à Surabaya (nous n’aurons pas à le regretter).

Du coup, c’est l’esprit allégé que nous partons dîner dès 18 h. Nous nous imprégnions peu à peu de l’ambiance javanaise. 1) La nourriture est hyper épicée. 2) tout le personnel du resto demande à être pris en photo avec nous. À 20 h, c’est déjà l’heure d’aller se coucher. Nous avons prévu de nous lever aux douze coups de minuits pour escalader le Kawak Ijen. La nuit sera courte…

Lundi 5 mars : Ascension du Kawah Ijen (Saïk)

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Le réveil a été difficile pour nous : minuit et quart du mat , mais c’est plus facile de se réveiller quand tu te dis qu’aujourd’hui nous allons monter le volcan si mythique qu’est le Kawah Ijen.
Donc nous avons enfilé un pantalon et un haut chaud et nous sommes montés dans les Jeep, et c’est parti pour une heure et 1/2 de route.
J’avoue la route m’a fait assez peur car elle était très raide. Nous avions une jeep méga pourrie et parfois, tandis que nous étions en montée très difficile, la voiture était sur le point de caler. Et surtout, on respirait tous les gaz d’échappement des voitures de devant.
Une fois que nous sommes arrivés en haut, nous avons écouté les consignes de sécurité et appris à utiliser nos masques au cas où le soufre nous dérangerait.
C’est parti pour la rando. Au bout de vingt minutes, Lolo était crevée et Grand-mère avait beaucoup de mal à avancer.  Nous avons fait une pause,  le guide nous a dit de monter
chancun à son rythme. Du coup nous sommes montés en deux groupes, et oui c’est bien d’avoir deux guides. Trente minutes plus tard , nous avons fait une pause gâteau et c’était reparti pour 1h .
5KGowBn5RyCBwuF4h%zZiAPendent cette heure nous avons eu pour commencer 10 minutes de montée à pic et après cette dure montée, nous avons terminé par un grand plat.
Une fois en haut du volcan, nos guides nous ont dit que nous pouvions descendre dans le cratère pour approcher des flammes bleues –  en prenant des escaliers très glissants sur un chemin très fin. Il nous fallait 45 minutes pour y descendre. Au final seules Lolo et Grand-mère n’y sont pas allées.
Effectivement les filles ont bien fait de rester car c’était très difficile. Mais une fois en bas, quel spectacle ! Les flammes étaient magnifiques, elles étaient bleues car elles étaient très très chaudes.
Au fond du cratère, nous avons rencontré un mineur très sympa et nous lui avons acheté 2 petits lapins moulés dans du souffre.
Quel métier difficile de travailler ici avec tout ce soufre sur le dos et dans l’air !
Puis nous sommes remontés avant de faire un petit goûter avec Grand-mère et Laura. Puis nous sommes redescendus jusqu’au parking. Nous avons repris les Jeep jusqu’à l’auberge où nous avons pris une douche et un petit déj’.
Il était 8h30 et nous avions l’impression d’avoir déjà vécu une journée. Et pourtant une autre nous attendait  : nous nous sommes ensuite lancés pour 7 oui je dit bien 7 h de route très ennuyante pour arriver à notre hôtel au pied du volcan Bromo où demain matin nous irons l’escalader .

Mardi 6 mars : Ascension du Bromo (François)

Le Bromo a le cœur qui bat

Le Bromo. On dit de lui qu’il est le plus beau volcan d’Indonésie. Il est même aux yeux des locaux le plus beau du monde !

Au lendemain du très impressionnant Kawah Ijen et ses porteurs de soufre, direction donc le Gurung Bromo de son nom javanais. Nouveau réveil dès potron-minet pour un départ à 3h du mat’. Contrairement à l’Ijen, dont l’ascension se fait à pied, les – trop nombreuses – Jeep règnent dans le parc parc national de Bromo-Tengger-Semeru. C’est donc à bord de l’une d’entre elles que l’on met le cap sur le Bukit Cinta.

De là, on assiste à un magnifique lever de soleil. La Mer de sable – résultante des éruptions des volcans de la vallée – retient les nuages arrivés la veille avec la nuit. Plus qu’une Mer de sable, c’est donc un lac de coton qui s’offre aux yeux des nombreux touristes, chaudement vêtus et massés sur les gradins de béton du Bukit. Le spectacle reste malgré tout magique quand le soleil apparaît. Les rayons réchauffent les flancs du Bromo. Les vapeurs, qui s’échappent de son cratère, conversent avec les nuages; comme celles du Mahameru un peu plus loin à l’horizon. Dialogue de géants.

Alors bien évidement, on a envie de coller notre oreille au plus près. Retour aux Jeep. Elles sont de plus en plus nombreuses. En caravansérail, elles plongent dans la Mer de sable. En trente minutes, nous voilà au pied du Bromo. Son ascension est rapide. Se termine par 210 marches qui réveillent définitivement les mollets. Mais là, quel spectacle ! Son cratère est impressionnant. Il plonge à pic vers un cœur qui bat, bout, pleure. Pas de doute, le Bromo respire. Vit. Nous renvoyant comme d’autres immensités terrestres à notre condition de « touts petits ». On n’ose imaginer les colères du Bromo dont la dernière remonte à 2010.

Allez, il est l’heure de s’en retourner. La Mer de sable s’est défaite des nuages. N’en reste que quelques volutes accrochées aux reliefs. Le tout compose un tableau magnifique. Beauté graphique. Temps suspendu. Les chevaux qui aident les marcheurs en peine confèrent à la scène un côté steppes mongoles.

On tourne désormais le dos au Bromo. Pas à son cœur…

Et on reprend la voiture pour trois heures de route, puis un avion pour rejoindre Yogyakarta. On arrive à notre hôtel à 21h30 bien fatigués.

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Mercredi 7 Mars : Premier jour à Yogyakarta, la capitale culturelle de l’île de Java (Malo)

Après les derniers réveils très très (!) très (!!) très (!!!) matinaux de ces derniers jours, le réveil naturel, sans alarme, a été très apprécié. J’avais moi même prévu de ne me lever qu’à 7h du soir… mais j’ai été sorti du lit un peu plus tôt quand même. Nous avons mangé le petit déjeuner dans notre hôtel et avons passé la matinée, tranquille, dans nos chambres.

Nous sommes ensuite sortis manger dans un petit resto sympa situé juste à côté du « water palace » de Yogyakarta. Je pense qu’on pourra vous donner l’adresse parce qu’en terme de rapport qualité prix, c’est un des meilleurs que l’on a fait jusqu’ici.

Le ventre plein nous avons commencé la visite du « water palace » (palais d’eau), le  lieu de divertissement du sultan de la ville. Utilisé par le Sultan jusqu’au XIXe siècle, il est aujourd’hui seulement un lieu de visite malgré le fait qu’il y ait encore un sultan à Yogyakarta. Nous avons vu les 3 piscines (une pour les femmes du sultan, qui étaient 35, une pour les enfants du sultan, qui étaient 150 et une pour le sultan lui même, qui était … tout seul) mais aussi la mosquée souterraine du sultan et tous les autres bâtiments du « palais ». Malheureusement, la pluie a commencé à tomber lors de la visite.
Nous nous sommes abrités avec quelques locaux, dont notre guide du palais, qui regardaient un match de foot de la ligue des champions asiatique. Quand nous sommes arrivés à la 70e minute du match, l’équipe de Bali United perdait un à zéro contre une équipe vietnamienne. Je pense que nous leur avons porté chance puisque quand nous sommes partis, à la fin du match, le score était de trois un pour Bali!

Nous sommes sortis de notre abri mais la pluie ne s’était pas vraiment arrêtée. Après avoir longtemps hésité, nous avons remis le cap sur l’hôtel où nous sommes rentrés trempés de la tête au pieds. Après une douche, nous avons fait une sieste (la fatigue est encore présente…) et sommes restés à l’hôtel jouer à des jeux de société et un peu glander aussi…

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À 19h, la pluie ne s’était toujours pas arrêtée, nous avons demandé au réceptionniste de nous appeler un taxi pour nous emmener au restaurant. Nous avons bien mangé et bien bu (raisonnablement quand même ). On a même fini le repas dans le meilleur glacier de Yogyakarta (8/10), plutôt pas mal. Nous sommes rentrés à l’hôtel en taxi, et nous nous sommes couchés, cette fois ci avec un réveil programmé à 8h, pour aller voir les temples de Prambanan et de Borobudur.

Jeudi 8 mars :  Un peu de spiritualité au milieu des temples de Prambanan et Borobudur (Estelle)

Depuis notre arrivée en Indonésie, on a pu observer une multitude de temples le long des routes parcourues, surtout sur l’île de Bali. Nous n’avons fait que les observer de l’extérieur.
Sur Java et plus précisément ici aux abords de Yogyakarta, on trouve deux des plus emblématiques temples hindouiste et bouddhiste d’Asie.
Nous voilà donc partis pour une journée spirituelle… En route de bonne humeur et de bonne heure: notre minibus vient nous chercher à 8h. Direction le grand complexe de Prambanan…. à la sortie de Yogyakarta.
C’est le plus grand temple hindouiste du monde. C’est en fait un complexe de 16 temples  principaux construit à partir du IXe siècle. Si on considère toutes les constructions de ce complexe, des petites ou grandes réalisations plus de 1000 « autels » de prière ont été érigés ici. Seuls les plus grands restent debout, ils ont résisté aux phénomènes climatiques locaux et aux tremblements de terre.
Nous sommes impressionnés par le génie des bâtisseurs de ces lieux sacrés.
Nous sommes surpris et ravis de trouver dans l’enceinte de Prambanan deux cours boudhistes avec leurs temples dédiés.
Avec notre oeil occidental, on ne peut s’empêcher de souligner et d’apprécier cette tolérante cohabitation de deux religions et deux styles architecturaux bien distincts. Le style hindouiste avec ses temples fins et élancés nous rappelle la tendance gothique quand le bouddhiste tout en rondeur et plus massif évoque pour nous le style roman.

Il fait une chaleur harassante, le soleil nous brûle… on cherche l’ombre et on rêve à un peu de fraîcheur.
On a dû le dire un peu trop fort car à peine sommes-nous remontés en voiture que la pluie se met à tomber : une vraie pluie de mousson.
Notre chauffeur nous propose un stop au pied d’un volcan, on décline la proposition devant le déluge.
La pluie tombe toujours à torrent le temps du déjeuner. Notre chauffeur nous arrête à l’entrée de la zone touristique du Borobudur, le second temple prévu aujourd’hui. Il nous dépose dans un resto à touristes après avoir empoché un petit billet des restaurateurs.
L’endroit est splendide: terrasse couverte au milieu des jardins zen … les prix sont beaux aussi (on paie deux fois le prix d’un repas de ces derniers jours). On accepte sans broncher : 70 euros pour dix, ça reste  surmontable pour nos portefeuilles européens.
La pluie tombe toujours. Un énorme éclair suivi de son coup de tonnerre nous accueille sur le site de Borobudur. Ça plante le décor, on reste à l’abri un gros quart d’heure le temps que l’orage s’éloigne.
En quelques minutes, une dizaine de vendeurs de parapluies et de capes de pluie encerclent le van. Une petite négociation pour la forme, c’est la coutume ici, et nous voilà tous transformés en plasticmens > direction le plus grand temple bouddhiste…

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Comme par magie, la pluie cesse dès notre arrivée sur le site. L’atmosphère embuée ajoute au côté mystique des lieux. Nous sommes pour ainsi dire les seuls visiteurs occidentaux et nous nous plions avec plaisir au jeu des selfies. Il semble que poser avec un blanc apporte bonheur aux locaux.

Ce temple est en forme de stupa (comme une grosse cloche) bien spécifique du bouddhisme – et se veut le reflet de l’univers.
En s’approchant du temple, on se rend compte que ce grand stupa est composé de milliers d’autres.
On n’entre pas dans ce temple qui ne comporte d’ailleurs pas d’entrée et pas de chambre intérieure : on peut seulement l’observer et l’admirer en marchant autour.
Sous chaque cloche était inséré un bouddha, il en reste quelques exemplaires : on aperçoit les statues entre les interstices des stupas.
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La sortie du temple passe par un détour obligatoire dans le dédale labyrinthique des marchands du temple. Les sollicitations sont nombreuses mais toujours proférées avec le sourire.
On remet ensuite le cap sur Yogya … la tenancière du resto où nous avons mangé hier soir est contente de nous revoir ainsi que le marchand de glace attenant. On leur dit au revoir et merci pour ces deux soirées.
Le temps est venu de boucler nos sacs … avant notre dernière étape avec les cousins demain.

Vendredi 9 mars : Transfert vers Jakarta et dernier jour avec les couz’ (Estelle)

Dix sacs à dos, dix grand sourires et voilà la famille des Gourm’ Trotters repartie. Une heure de vol … et nous voici arrivés à Jakarta. La ville tentaculaire nous tend les bras… on ressent très vite l’émulation qui émane de cette mégalopole de plus de 10 millions d’habitants : ça grouille, ça bouchonne (on a expérimenté) et le high-tech côtoie le traditionnel voir le très rustique.
Il est 15:30 quand on arrive à l’hôtel… de luxe comme disent nos enfants : une piscine, des grands lits. Tout le monde apprécie la pause : les petits sautent dans la piscine, les grands rangent les sacs. On s’allège de quelques trucs superflus que les cousins vont rapporter en France . Nos sacs sont pourtant toujours aussi remplis.
Et on profite de notre dernière soirée en famille au resto de l’hôtel : on n’a pas osé tenter la balade pédestre nocturne à Jakarta – le trafic routier nous effraie. On a déjà expérimenté la difficulté de traverser une route à 10 hier soir à Yogyakarta !
Les « au revoir » aux cousins sont un peu difficiles… les enfants ont partagé des moments de grande complicité ces quinze derniers jours et ont vraiment goûté avec plaisir à ce temps en famille à l’autre bout du monde.
Il y aura finalement un second au revoir demain matin : on ira faire un bisou aux cousins dans leur lit (leur avion pour la France n’est prévu qu’en fin de journée demain alors que les Gourm’trotters doivent quitter l’hôtel à 6h30 pour rejoindre Manille aux Philippines. Après l’aventure, l’aventure continue.

Les photos

5 réflexions sur “Java des volcans et des temples

  1. lisemingot dit :

    Salut les Gourm
    Merci encore pour cette parenthèse enchantée. Vos photos sont de plus en plus belles!!!
    Continuez de nous faire rêver et de nous donner l’envie comme vous de dévorer le monde.
    A bientôt
    Lise &Co

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  2. Nicole La voisine dit :

    Quelle vie de rêve, comment allez vous faire pour vous réadapter à notre vie bretonne et au climat .encore une fois je vous envie…
    Mille grosse Bises à toute la famille.
    La voisine.

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