C’est en partie sa réputation de ville fortement engagée dans le développement durable qui nous avait incités à faire escale dans la mégalopole de l’ouest canadien.
Après y avoir séjourné 9 jours, on peut confirmer que Vancouver a pris le bon virage : jardins urbains, part belle faite aux déplacements doux ( vélo, Marche à pied), réseau de transports en commun dense et facilement accessible.
Vancouver c’est aussi la ville aux multi-poubelles – jamais une seule poubelle mais une série de poubelles : papier, plastique, recyclage, compostable et déchets incinérables.
C’est remarquable mais pas forcément efficace : quand on y regarde de plus près ( mes copines vous confirmeront que je suis calée en poubelle 🙂 le tri n’est pas très précis et donc peu efficace. C’est dommage, surtout qu’en territoire nord-américain, les
emballages jetables sont légion.
Mais on attribue quand même un label de ville verte à Vancouver pour la capacité de cette jeune city de 120 ans pour avoir su développer un urbanisme respectueux de la luxuriante nature du territoire. La ville est parsemée de multiples parcs et espaces verts importants, dont le célèbre Stanley Park. Au cœur de ces espaces, on en oublie qu’on se trouve dans la 3e plus grande ville d’Amérique du Nord.
C’est certainement ces grands espaces et ces poumons verts qui font de Vancouver une ville tranquille où les Vancouverites travaillent à la city le jour, vont à la plage le soir et randonnent ou skient le weekend.
On s’y est senti bien mais il nous y a manqué un petit truc ( difficile à définir pour le moment)) pour qu’on soit vraiment in love.