Road trip : un saut de kangourou entre Sydney et Melbourne

Les photos

Dimanche 11 février : Jervis Bay (Malo)

Pour notre première journée pleine hors de Sydney, nous avions prévu de visiter le parc national Booderee, au Sud de Sydney, à côté de la ville de Nowra.

Nous nous sommes réveillés dans notre chambre d’hôtel, justement dans la ville de Nowra, vers 8h30, mais les parents un peu plus tôt puisque ils ont décidé de faire un peu de gym, histoire de se remettre en forme avant le retour en France.
Nous avons mangé le petit déjeuner dans notre chambre et avons mis le cap sur Hyams Beach, hors du parc mais qui aurait, apparemment, le sable le plus blanc du monde ! Je ne sais pas si c’est vraiment le cas mais en tout cas elle connaît un certain succès : la plage était bondée, curieux puisque la météo n’était pas, elle, réellement au rendez-vous. Il y avait beaucoup de vagues, l’occasion de bien s’amuser pour les garçons de la famille (maman a préféré rester sur le sable). Nous avons joué pendant quasiment une heure puis sommes sortis nous sécher.
Il était l’heure de manger mais, faute de trouver un endroit abrité sur Hyams Beach, nous avons décidé de rentrer dans le parc national Booderee. Nous avons trouvé cet endroit idéal sur la plage de Green Patch, sur laquelle nous n’avons pas seulement mangé mais passé tout l’après midi. Pour nous occuper, nous nous sommes beaucoup baignés et avons joué sur la plage, de 13h à 17h. En faisant un peu de snorkeling, nous avons même vu un poison plat, qui ressemblait à une sole.

En fin d’après-midi, en quittant la plage, nous avons croisé un Kangourou, notre premier en liberté. Motivés par cette première découverte, nous avons continué à déambuler dans le parc en trouvant 3 autres kangourous. Bien fatigués nous avons remis le cap sur notre hôtel à Nowra, où nous avons mangé puis nous sommes couchés fatigués par toutes ces baignades.

 

Lundi 12 février : On continue la descente vers Bateman’s Bay (Saïk)

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Quand on s’est réveillés, nous avons pris le petit-déjeuner, avant de faire nos sacs. C’était un bon hôtel, la chambre était propre, il y avait une piscine, des couverts et des assiettes.
Après nous avons pris la route vers Bateman’s Bay. Nous avons roulé une heure trente pour arriver au park Murramarang : nous y avons pique-niqué et nous avons décidé d’aller faire un trail de 2 heures. Au début je n’étais pas chaud mais au final, après avoir marché nous avons vu des kangourous.
C’était super : ils sautaient et par moment ils se posaient et nous regardaient. Ils nous ont bien amusés puis nous avons décidé de les laisser tranquilles et nous sommes rentrés à la voiture. Nous avons roulé très peu : l’hôtel était tout proche. Nous avons fait quelques longueurs dans la piscine, nous avons travaillé un peu et nous sommes allés jusqu’au village de Bateman’s Bay pour manger une pizza. J’ai ensuite pu rêver tranquillement des kangourous. Je me dis que cette rencontre sera un de mes « best » moments du voyage.

Mardi 13 février : De Bateman’s Bay à Eden (Estelle)

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Eh bien finalement, on ne verra pas grand chose de Bateman’s Bay. Il pleut quand on décide de mètre les voiles – vers 10 h après un petit temps de travail scolaire.
« C’est pas grave », lance en choeur les enfants. Ils ont appris à motifier leurs plans, à faire avec les imprévus.
On file donc plus au sud : après un checking  la météo semble meilleure du côté d’Eden – notre stop du soir.
En chemin, on s’arrête à Narooma boire un café. On devient vite accro au bon café australien et on adore ces petits Coffee-shop – on dirait chez nous salons de thé – qu’on trouve dans chaque ville ou commune traversée.
On reprend la route pour une vingtaine de kilomètres, direction Central Tilba – un petit village préservé (le Locronan australien a dit Yves) : une seule et unique rue bordée de maisons en bois érigées au moment de la ruée vers l’or.  Cafés et artisanat occupent les bâtiments historiques : on flâne tranquillement mais Saïk trouve ça trop surfait. Merlin trouve une balançoire pour se dégourdir les jambes. Il n’oublie pas de nous faire savoir que c’est l’heure du déjeuner. On lui propose de patienter quelques minutes car nous pensons trouver quelque chose à manger dans le village plus récent à côté (Tilba Tilba). Mais il n’y a rien, on pousse de 20 kilomètres mais toujours rien à Cobargo – si ce n’est des boutiques fermées.
Il faudra patienter encore un peu (40 km) pour rejoindre une ville avec commerces : Bega – ou plûtot qu’un resto on fera une halte à la grande surface locale pour un pique-nique rapide mais réconfortant dans le jardin attenant.

On se fait bien vite survoler par une nuée d’oiseaux bruyants : cela a un côté un peu inquiétant… l’occasion d’évoquer avec les enfants la faculté des oiseaux à ressentir les catastrophes naturelles avant l’homme. Rassurez- vous, la terre n’a pas tremblée. Elle ne tremble d’ailleurs pas en Australie : les grandes catastrophes ici relèvent des incendies de forêts d’eucalyptus.
On reprend la route en direction d’Eden.
En passant à Merimbula, je découvre dans notre guide Lonely planet qu’une promenade de 3,5 km est recommandée. On s’arrête donc pour parcourir cette promenade sur planches en bord de lac. Saïk n’est pas du tout partant… Après quelques négos, il finit par nous suivre : on lui rappelle que la veille il ne voulait pas venir et qu’il finalement vécu un super moment en rencontrant les kangourous.
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La balade est jolie et d’innombrables petits crabes bleus, noirs, à pattes rouges… nous distraient.
18h, il est l’heure de filer jusqu’à Eden : c’est tout près. Le motel réservé est correct : on a deux chambres, on aurait pu tous dormir ensemble. Dommage on aurait pu économiser quelques dizaines de dollars…
Quelques courses pour le soir et le lendemain matin et on file à la piscine… couverte ce soir. Je me laisse tenter par un bain avec les enfants. On dîne dans la grande chambre et on borde nos enfants afin qu’ils s’endorment tranquillement. Notre chambre est située dans une autre allée : je n’aime pas beaucoup être aussi éloignée des enfants… mais je ne dis rien car j’avoue assez régulièrement ma difficulté à vivre tous ensemble à longueur de temps. Va comprendre mes ambiguités !

Mercredi 14 février : longue route jusqu’au Wilson Promontory (Estelle)

L’Australie est un pays immense, et même si on se contente d’un court road trip sur la carte (entre Sydney et Melbourne), on s’aperçoit des distances gigantesques qui peuvent exister ici.
Plus de 550 km nous attendent aujourd’hui pour rejoindre notre hôtel du soir à Toora (à l’entrée du Wilson Promontory – le parc que l’on doit visiter demain).
C’est parti mon kiki : on s’enfonce dans le bush – forêts d’eucalyptusptus à perte de vue… et les villages ? Ils ont disparu. Plus de trace d’activité humaine… si ce n’est de nombreux chantiers mobiles sur la Princess Highwy- la route nationale que nous suivons.
Le thermomètre grimpe : il atteint les 35 degrés quand on s’arrête dans la première localité rencontrée vers 11H30 pour boire un café ( 🙂 et faire le plein d’essence.
En trente minute, le temps change : le vent se lève et devient violent. Le thermomètre chute et les branches aussi. Il faut parfois slalomer sur la route.
Le vent nous accompagne jusqu’au bout. On fait une pause déjeuner dans le village suivant… à 75 kilomètres à Orbost. Et on reprend la route jusqu’à notre motel : on a une chambre pour 5. Elle ne se prête par contre pas à la popote du soir, et ça tombe bien, on a décidé de s’offrir un petit resto : les enfants nous ont rappelé que c’était la St Valentin. Le resto de Toora n’a rien d’inspirant, on file à Foster la ville voisine à 10 km. Il n’y a qu’un resto d’ouvert : bar- casino et resto. On y trouve tout. La serveuse nous accueille et nous assoit au milieu d’une grande salle très impersonnelle mais qui correspond bien à l’image qu’on a des restos de route américains.

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On choisit sur la carte, on attend, on attend … et on attendrait encore si un gentil voisin n’était pas venu nous expliquer qu’il fallait aller commander au comptoir dans l’autre salle.
Il nous faut payer avant même d’être servis… et dommage, on n‘a pas la carte seniors comme tous les autres clients du resto, on aurait eu droit à une ristourne de 10 %.
Notre repas sera finalement très bon, les enfants vous diront que c’était génial : il y avait un kid’s corner avec une playstation.
Vers 20h, on rentre à l’hôtel : réveil à 7 h demain pour ce qui s’annonce une bonne journée de Rando.

Jeudi 15 février:  À l’aventure dans le Wilson’s Promontory national park (Malo)

Nous n’avons pas trop tardé à nous coucher hier soir, après la saint Valentin pour une bonne raison: nous avons prévu de nous lever tôt aujourd’hui, pour aller dans le parc national Wilson’s Promontory (le promontoire de Wilson). Ce parc est réputé comme l’un des plus jolis sur la route entre Sydney et Melbourne. Sans doute un coup de malchance mais la météo n’est pas au rendez-vous. Il y’a beaucoup de brume et même un peu de pluie qui tombe au moment où nous prenons la route pour le parc, situé quand même à plus d’une heure de notre hôtel situé dans la ville de Towra.

Le soleil ne s’est toujours pas levé quand nous nous garons dans le parc, une heure plus tard. La brume est même plus épaisse. Tant pis, nous commençons quand même l’ascension du mont Oberon (2 heures aller-retour). La montée était facile mais pas très agréable: un chemin énorme, quasiment une route au milieu des eucalyptus. Nous avons mis un peu moins d’une heure à monter, mais ça en valait le coup! Malgré la brume, la vue sur le parc et le mer était vraiment magnifique!

On se serait cru dans le parc du Yosemite (aux USA) avec la mer en plus. Après avoir passé un petit quart d’heure en haut, nous avons commencé la descente, qui a duré le même temps que la montée. Une fois en bas, nous avons mis le cap vers une table de pique-nique où nous avons…… pique-niqué. Après ça, nous sommes allés marcher un petit peu à côté d’une plage mais le vent et la pluie ont écourté notre balade. En réalité, nous n’avons pas vraiment profité du parc, à cause de la météo. Ça ne servait pas à grand chose de continuer à chercher le beau temps ici, il ne viendra pas… Nous sommes donc partis vers Philip Island et notre hôtel du soir situé à deux heures de route du parc. En arrivant, nous étions crevé: le réveil matinal, la rando, la route… Nous nous sommes donc un peu reposés et avons fait de l’école pendant que papa faisait des courses pour le repas. Il est rentré et nous sommes partis, voir des pingouins! Avouez que vous ne saviez pas qu’il y’en avait en Australie. En même temps vu la météo des derniers jours, on se serait presque cru en Patagonie! Nous avons mis le cap vers la Penguins parade. Chaque soir, les plus petits pingouins du monde sortent de l’eau à la tombée de la nuit et viennent nicher sur une plage de Philippe Island. Il y avait plein de monde, dont beaucoup d’asiatiques, pas très polis, qui se mettaient devant nous et nous empêchaient de voir les pingouins, mais ils ne nous ont pas empêché de profiter de la soirée.

Inutile de vous dire qu’en rentrant, nous n’avons pas tardé à manger et à nous coucher, bien fatigués par cette très longue journée.

Vendredi 16 Merlin : Accrochez-vous à Philip Island (Merlin)

Aujourd’hui on s’est réveillés à 8 h. Après on a pris le petit dej. Après on est allé au circuit de motos : le circuit de Grand Prix de Philip Island.  On a visité le musée de la moto : il y en avait de nombreuses !
Nous avons pu aller observer le circuit, et nous avons eu de la chance : il y avait un entraînement. Ça roulait vite, c’était bruyant… drôlement impressionnant.
Sur le bord du circuit, il y avait un perroquet, c’est la masquotte du circuit :  il s’appelait Robo, il avait 80 ans. Après on a bu un café ☕️  . On est allé marché sur une partie plus sauvage de l’île pour essayer de voir des koalas 🐨 mais on n’en a pas vu. Après on a mangé au bord de la mer : j’ai pu jouer longuement sur les balançoires. On a pris la route jusqu’à Melbourne, c’était long car il y avait beaucoup de circulation. On est arrivés à Melbourne . Nous avons rejoint notre appartement Airbnb, les grands sont allés faire des courses avec Papa. J’étais très fatigué, je suis restée me reposer avec Maman. Nous nous sommes couchés assez tôt.

Samedi 17 février : Premier jour à Melbourne (Yves)

On a plutôt de la chance avec notre Airbnb. En dehors d’une wifi très capricieuse (un grand classique depuis notre arrivée en Océanie), ce dernier est calme et super bien situé : juste en face du Parc olympique, à quelques encablures du centre ville de Melbourne.
Après une semaine de road trip, nous apprécions de disposer d’un pied à terre pour trois nuits et de pouvoir nous réveiller sans l’aide du réveil.
Nous profitons de la matinée pour nous offrir un temps scolaire un peu plus conséquent avant de mettre le cap sur le centre de Melbourne.

Nous avons repéré dans le Lonely Planet une promenade d’un peu plus de trois kilomètres qui permet de découvrir le centre en slalomant (après tout c’est les Jeux d’hiver !) entre les passages couverts et les allées. Le centre de Melbourne est en effet constitué d’un labyrinthe de galeries marchandes datant du XIXe siècle, d’allées et de ruelles pavées où se côtoient restos, boutiques, et street art.
La balade est très sympa. Non seulement, les passages couverts sont très jolis, mais il s’y dégage en plus une douce atmosphère. Même si la ville bourdonne de vie, on se sent tout de suite bien ici.
Notre promenade se termine dans la fameuse Hosier Lane. Située à deux pas de l’ACDC Lane (et oui, les hard rockers australiens ont leur rue en pleine coeur de Melbourne), cette rue est un véritable temple du Street Art. Son décor change sans cesse et nous passons d’ailleurs plusieurs minutes à regarder un graffeur finir sa fresque.

Après trois heures de balade, nous décidons de poursuivre notre après-midi dans un musée. Avec Estelle, nous militons pour le Ian Potter Centre, qui propose un large panorama de la culture australienne. Les garçons sont plutôt motivés par l’Australian Centre for the moving image, le musée du cinéma et de la télévision situé juste à côté. Nous optons finalement pour le second et nous n’avons pas à le regretter. L’ACMI parvient à instruire, captiver et amuser en même temps via une quantité de visuels rendant hommage au milieu du ciné et de la télé australienne. La visite est vraiment instructive et nous ne voyons pas le temps passer.

Il est plus de 17 h, lorsque nous quittons le musée. Nous aimerions bien poursuivre notre flânerie, mais Saïk et Merlin n’ont qu’une aspiration : rentrer au plus vite à l’appartement afin de piquer une tête dans la piscine (après sept mois de voyage, on a l’impression qu’aucun endroit ni aucune activité n’arriveront jamais à égaler le fait de piquer une tête dans une piscine aux yeux de nos garçons).
Estelle décide de rentrer avec eux. Avec Malo, nous prolongeons notre balade sur les bords de la Yarra River jusqu’à la Rod Laver Arena, où se déroule chaque année la finale de l’Open d’Australie.
Nous passons un long moment à admirer toutes les statues des joueurs australiens ayant marqué l’histoire du tennis. Malo se dit que ce serait bien d’avoir la même chose devant le Roazhon Park. Mais après réflexion, on finit par abandonner l’idée. Difficile, en effet, de trouver un joueur ayant suffisamment marqué l’histoire récente du club au point de mériter sa statue devant le stade.

Après la séance piscine et un dîner en famille, nous laissons exceptionnellement les garçons seuls pour la soirée afin de retourner avec Estelle dans le centre. Melbourne organise en effet sa nuit blanche sur le modèle de la nuit blanche parisienne. Les musées sont ouverts pour la nuit et différentes installations et concerts animent le centre-ville. Nous passons une agréable soirée à nous balader (nous retournons même faire un petit tour à l’ACMI) avant de rejoindre notre appart peu avant 23 h, au moment même où un immense feu d’artifice illumine la Yarra River.

Dimanche 18 février : Melbourne J2 (Estelle)

Pour les enfants Airbnb rime avec « sortons les cahiers, allez-y ! ».
On est dans une phase positive : on arrive à travailler régulièrement ces derniers jours et l’investissement des enfants s’en ressent. Ils arrivent même de mieux en mieux à travailler en relative autonomie. J’apprécie.
Il m’est plus aisé de jongler d’un enfant à l’autre pendant qu’Yves travaille de son côté sur la suite du voyage.

On décide d’aller déjeuner au marché central : le Vicoria’market, notre guide nous annonce le plus grand marché ouvert de l’hémisphère sud.
On profite comme hier du tram gratuit en centre ville pour rejoindre le dit marché. Il est en effet très grand avec différentes halles dédiées à l’alimentation et des espaces extérieures où marchands de souvenirs et de vêtements bon marché tentent de séduire les passants.
IMG_4938.jpgMerlin a repéré dès son entrée les charcutiers : il réussira à repartir avec son saucisson de kangourou. On mange un sandwich d’inspiration libanaise dans les allées. Nos voisins mangent des huitres mais la taille des mollusques et leur couleur blanche nous laisse supposer que ces dernières sont très laiteuses; pas trop notre kiff mais l’occasion d’un petite pensée pour notre écaillère du marché de Vern… et pour le petit plaisir qu’on aura à la retrouver elle et ses huitres dans quelques mois à notre retour.
On prend ensuite la direction de la librairy of State – une belle et grande bibliothèque qui séduit toute la famille. On y passe deux bonnes heures à découvrir ses salles de lecture, d’exposition dont une très belle sur l’histoire des livres.

En sortant, les enfants se lancent dans une partie d’échecs géants. Le gardien des lieux, un papy qui semble dormir ici avec son sac à dos s’improvise maître du jeu et guide les enfants… qui n’osent pas le contredire et se trouvent un peu contraints dans leur jeu.
Il est 16h, nos estomacs nous gargouillent, selon l’expression consacrée de Merlin. On trouve un glacier sur le chemin du retour : une glace au caramel moyenne (7,5/10)
Malo nous encourage à rentrer par le parc olympique : il veut faire découvrir à ses frères la Rod Lavel Arena. Les petits sont OK et ne le regretteront pas : le cours le numéro 2 était ouvert. Ils ont pu pénétrer sur la surface et prendre des photos sympas.
Il est finalement 18h quand nous rentrons à l’appartement et Merlin entraîne ses frères à la piscine pour une petite heure de baignade.

Les photos

2 réflexions sur “Road trip : un saut de kangourou entre Sydney et Melbourne

  1. Nicole La voisine dit :

    Pour les huitres il faudra que tu attente mi-septembre voir fin septembre pour déguster les huitres de Vivier sur Mer !!!
    Le « petit gourmet » de saucisson est un beau et grand garçon, c’est vrai presque huit mois que vous êtes partis.
    J’avais pris un peu de retard à vous lire mais j’apprécie toujours vos divers commentaires.
    Des nuages de …bises…à tous, fautes de vous pouvoir vous envoyer les pluvieux.
    La Voisine.

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