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Mardi 1O avril : Du Cambodge à la Thaïlande > une histoire par Merlin
Il était une fois une famille de 5 personnes qui était au Cambodge 🇰🇭 . C’est ma famille
Nous nous sommes réveillés assez vite et Saik le râleur 😤 n’était pas content parce qu’on se réveillait tôt. On a pris le petit déjeuner qui était constitué d’un croissant, une salade de fruits et un café ☕️ ou un jus d’orange. On est retourné à l’hôtel pour se brosser les dents puis on a pris le tuk-tuk pour l’aéroport international de Siem Reap. On s’est enregistré puis on a passé la douane. Ensuite nous sommes entrés dans l’avion 🛫 puis l’avion a décollé 🛫pour Bangkok. Le vol a duré 1 h après on est arrivé à Bangkok et on a repris un vol pour Chang Mai : il a duré 1 h et demi puis nous sommes arrivés.
Ensuite nous avons pris le taxi pour l’hôtel. A l’hôtel nous avons revu la famille Tour, que l’on avait déjà rencontrée aux Philippines. J’étais super content👍. Pour fêter nos retrouvailles, nous avons sauté dans la piscine 🏊 avec Tom et Clara. Ensuite on est tous allé manger ensemble en ville. On est rentré se coucher.
Mercredi 11 avril : Journée sportive (Yves)
« Tiens, et si on s’initiait à la boxe thaï ? »
Lancée à la cantonade, hier soir, à l’heure de l’apéro, l’idée a fini par faire son chemin.
Maxime, le papa de la famille Tour, ayant programmé un stage toute la semaine dans une salle de la ville, nous décidons de l’accompagner avec Malo, de bon matin.
Première surprise à notre arrivée à la salle, nous ne sommes que quatre à avoir opté pour le créneau 8-10 h. Et comme, il y a deux profs, autant dire qu’on va quasiment bénéficier d’un cours particulier avec Malo.
Après quinze minutes d’échauffement autour du ring, la séance commence par un apprentissage des coups de base : poings, coudes, genoux, pieds. Avant la montée en puissance du MMA, ces dernières saisons, la boxe thaï a longtemps véhiculé l’étiquette du sport le plus violent du monde. On lui reprochait surtout de répandre l’idée que tous les coups étaient permis.
Mais avec Malo, on s’aperçoit très vite que donner des coups, cela ne s’improvise pas. Chaque mouvement exige une synchronisation du reste du corps. Notamment le coup de genou qui doit s’accompagner d’une bascule simultanée du corps en arrière. Et visiblement, notre technique ne convient pas à notre prof, qui prend un malin plaisir à nous imposer des séries de 10 pompes à chaque fois que nos mouvements ne sont pas synchronisés. Résultat : après une demi-heure de cours, nous dégoulinons de sueur et nous avons les bras qui brûlent. Comment allons-nous faire pour tenir encore 1 h 30 à ce rythme ?
Mais comme souvent dans le sport, le plaisir prend très vite le dessus sur le reste. Même s’il nous braille en « Thaïlanglais » dans les oreilles, notre prof est vraiment cool et nous apprécions vraiment cette découverte du sport national thaïlandais. (Pour votre info, dix pompes cela se dit ten push ups, on l’a tellement entendu pendant la matinée qu’on pourrait ouvrir un magasin…)
Nous finissons même la séance par un mini-combat sur le ring avec Malo. Nous quittons la salle lessivés, mais comblés. C’était vraiment une super expérience.
À notre retour à l’hôtel, nous retrouvons Saïk et Merlin en pleine séance d’école avec leurs copains de la famille Tour. Estelle fait la classe aux CM (Saïk et Tom), pendant que Delphine suit le travail des CE (Merlin et Clara). C’est fou comme le travail est plus efficace quand on travaille en équipe. On a l’impression de se connaître depuis toujours tellement le feeling passe bien avec les Tour.
La séance de boxe nous a tellement plu que nous suggérons à Estelle et aux enfants d’aller faire un tour à la salle dans l’après-midi. Au départ, nous avions prévu d’aller nous promener dans les rues du centre historique de Chiang Mai. Mais il fait un soleil de plomb (plus de 38 degrés, on a l’impression qu’il tombe du feu), et entre la visite d’un temple sous le cagnard et un cours de boxe thaï, les garçons ont vite fait leur choix. Depuis le début du voyage, les trois gars n’arrêtent pas de me dire qu’ils rêvent d’installer une salle de boxe dans la cave de notre maison à Vern, à notre retour. Avant de lancer les grands travaux, autant voir à quoi cela ressemble…
Seul Malo, que la séance du matin a bien entamé, décide de rester faire la sieste à l’hôtel.
Certes, il y a un peu plus de monde en ce milieu d’après-midi, mais Estelle et les enfants accrochent tout de suite. Eux aussi, pourtant, ont le droit à leurs régulières séances de pompes et ils dégoulinent de sueur, mais ils tombent très vite sous le charme de la boxe thaï.
Même s’ils ont le corps couvert de protections, la séance de combats finaux sur le ring (Merlin VS Clara, Saïk VS Merlin, et Saïk VS Tom) nous vaut même quelques frayeurs, car aucun des enfants ne retient ses coups. Quoi qu’il en soit, c’est avec des étoiles au fond des yeux qu’ils descendent tous du ring après une heure vingt d’initiation. (PS : cette fois, c’est sûr, je suis bon pour la salle de boxe dans la cave à notre retour…)
Infatigables, les enfants se précipitent dans la piscine de l’hôtel dès notre retour. De notre côté, nous optons plutôt pour une séance de récupération autour d’une bonne bière en compagnie de Delphine et de Maxime. Et magie du voyage et des réseaux sociaux, une autre famille de globe trotters francophones (huit gambette à bicyclette), venue fêter le Nouvel An bouddhiste à Chiang Mai, se joint à nous au milieu de l’apéro. Céline et Quentin se sont lancés dans un voyage autour du monde à vélo avec leurs deux petites filles. Le courant passe très vite entre nous. Céline est belge, mais Quentin est originaire de Morlaix. C’est fou comme le monde est petit !
Le cercle s’agrandira même un peu plus au milieu de la soirée lorsque Jean-François et Christine, deux Québécois voyageant avec leur petite fille se joindront à nous. De dix nous voilà d’un seul coup à dix-sept ! Malgré cela, nous parvenons à dénicher deux grandes tables dans un petit resto spécialisé dans la nourriture à base de grenouilles afin de prolonger la soirée tous ensemble. Prudents, nous optons plutôt pour un Pad thaï, le plat traditionnel thaïlandais à base de pâtes. Cela fait que deux heures que avons fait connaissance, mais nous avons l’impression de voyager ensemble depuis des mois…
Jeudi 12 avril: Fête de l’eau jour 1 (Malo)
Même si les célébrations du nouvel an bouddhiste (autrement dit: la fête de l’eau) ne commencent officiellement que le 13 avril, certains plaisantins pressés (dont nous…) ont déjà commencé à arroser les passants dans la rue.
Nous nous sommes levés vers 9h, en pleine forme après une bonne nuit de sommeil (la boxe, ça fatigue…) et avons fait de l’école toute la matinée avec la famille Tour. Nous avons ensuite déjeuné dans un petit restaurant Thai, situé non loin de notre hôtel (le resto s’appelle « Mary’s Restaurant », vous verrez ensuite qu’il va devenir notre cantine à Chiang Mai. On vous le recommande vivement!).
Une fois rentrés à l’hôtel, nous avons profité de la piscine et avons commencé à arroser les scooteurs qui passaient dans la rue.
Vers 18h, nous avons mis le cap, à pied, sur le centre ville. Et je peux vous dire que nous avons été bien trempés. Entre les pick-ups qui nous balançaient de l’eau et les autres passants on s’en est pris plein dans la tronche ! Le pire, c’est que certains d’entre eux avaient de l’eau glacée qu’ils nous balançaient seau par seau. On avait du mal à nous défendre avec nos pauvres pistolets à eau.
Après avoir déambulé une bonne heure, nous avons décidé de nous poser dans un bar possédant une réserve d’eau, histoire de pouvoir nous recharger en eau. Mais bon, nous n’avons pas vraiment eu le temps de sécher… Bien trempés, nous avons remis le cap sur le restaurant dans lequel nous avions déjeuné le midi même, puis nous nous sommes couchés, après une bonne douche: l’eau que nous avions pris sur la tête provenant tout de même de la rivière passant dans le centre ville, nous avons préféré bien nous laver avant de nous coucher.
Vendredi 13 avril : Songkran entre francophones (Estelle)
Le réveil est facile aujourd’hui : c’est aujourd’hui qu’on va faire une bataille d’eau géante.
Hier, nous avons eu un aperçu des célébrations du nouvel an bouddhiste : Songkran. Et nous étions bien mouillés. Mais parole de Thailandais, c’est aujourd’hui le grand lancement des festivités. Cette fête de 3 jours (du 13 au 15 avril) durant laquelle on purifie les bouddhas et les passants à grand coup de jets d’eau, est un événement à Chiang Maï.
Pendant quatre jours, il faut sortir armé de son pistolet à eau ou de son seau pour pouvoir riposter aux salves, plus ou moins propres, plus ou moins glacées, lancées avec bonne humeur par tout à chacun à Chiang Maï.
Imaginez une bataille d’eau géante où enfants et adultes se mêlent sans complexe… le bonheur pour nos enfants. Surtout quand ce bonheur est partagé avec toute une ribambelle de copains francophones.
Nous avons effectivement fixé rendez-vous à 6 familles de voyageurs francophones aux alentour de 12h30 au jardin public local.
Avant, nous n’avons pas manqué de nous adonner à une séance d’école studieuse. Deux maîtresses pour 4 enfants : Delphine supervise les CM2 : Saïk et Tom ; et je m’occupe des CE2-CE1 (Clara et Merlin). Et comme par magie, l’école se passe bien mieux quand c’est pas Maman qui veille au grain 😉
A midi et demie, on met le cap sur le parc Suan Bar Hat avec les deux familles qui logent dans notre hôtel : la famille Tour (on ne la présente plus) et la famille Poirier-Baron (une famille de trois sympathiques Québecois). On a réservé un grand taxi rouge – un tuk-tuk pour douze. On est assis confortablement mais l’habitacle est ouvert. On entre vite dans le vif du sujet. A peine avant nous parcourus 400 m que les sauts d’eau – puisée dans les douves (beurk) nous tombent dessus. Les enfants rigolent, les adultes aussi d’ailleurs. On est à l’affut des petits malins qui ont des réserves d’eau glacée. C’est saisissant !
Au parc, on retrouve les 8 gambettes à bicyclette (Quentin et Céline sur leur tandem avec leurs deux petites de 4 et 2 ans , la famille Praz venue de Suisse – ils sont également avec leurs deux ados de 15 et 13 ans, et nous faisons enfin la connaissance des Crêpes en vadrouille – cette famille de 5 Lyonnais partie en même temps que nous et dont nous suivons les aventures.
On est 29 ! 14 adultes et 15 enfants … tous (presque) armés d’un pistolet ou d’un seau.
Après une bonne heure passée à discuter, nous immortalisons cette rencontre incroyable par une séance photos. Le cortège entre ensuite en mouvement et se rapproche du centre névralgique des festivités de Songkran.
On avance très tranquillement jusqu’à l’entrée du temple principal de la ville : le Wat Phra Sing – où converge un immense défilé de bouddhas précédés de danseurs traditionnels. On apprécie le spectacle, on discute de nos différentes expériences, les enfants s’arrosent encore et encore.
La famille québécoise nous quitte en milieu d’après-midi : un avion à prendre pour Bangkok. C’est l’occasion pour toute la troupe de se mouvoir telle un long serpent vers l’enceinte intérieur du temple. Aujourd’hui c’est fête : le temple grouille. Une tolérance est accordée aux visiteurs et aux locaux : on peut circuler en short. Ouf car on est tous en short. Cela aurait été dommage de rater le spectacle de cette fourmilière dorée.
Vers 16h, les enfants nous font part de leur envie de quitter le temple. On met tous le cap sur l’hôtel ( le nôtre >>> on y invite tout le monde).
En chemin, on continue la bataille d’eau : les papas s’y mettent. L’effervescence retombe vite quand une jeune Thaïlandaise dérape et tombe de son scooter non loin de nous.
La pauvre, elle a le genou qui double de volume en peu de temps. Les enfants se calment rapidement, on rentre tranquillement à l’hôtel.
On débarque à 23 : les gérants de l’hôtel nous accueillent à bras ouverts pour boire une bière… mais les enfants non résidents non pas le droit de plonger dans la piscine. Les garçons balaient vite leur déception en allant jouer au foot sur un terrain attenant, et les filles plus petites se lancent dans une séance d’essayage des 2 shorts et 2 robes de la petite Clara.
On partage tous ensemble un bon moment, on se comprend : on rencontre les mêmes difficultés, on partage nos émotions… et on parle de la suite > tout le monde a prévu un retour au cours de l’été. Et devinez quoi ? Tout le monde est assez serein sur la question de ce retour – et certain d’amasser au cours de cette année une dose d’énergie importante.
On décide de tous dîner ensemble, à proximité de l’hôtel – loin du tumulte de la fête de l’eau.
On passe devant Mary’s restaurant. La terrasse est toute petite – 4 tables de 4. Deux sont occupées. Mai pas de problème, il y a de la place pour nous. Un couple termine son repas, et nous voilà à 23 entassés sur 3 tables. On partage là encore un super moment, les enfants sont super tranquilles, ils échangent eux aussi leurs différentes expériences. Personne n’est vraiment pressé de rentrer. On se quitte vers 23h30 avec le sentiment d’avoir vécu une belle journée d’échange.
Samedi 14 avril : Repos, Foot et Arrosage (Malo)
Journée plus calme aujourd’hui
Après avoir passé une journée entière au coeur de la fête de l’eau, nous avons prévu, pour aujourd’hui, d’éviter l’épicentre de la fête, afin de ne pas être trop mouillés…
Nous nous sommes levés vers 9h et sommes restés manger le petit déjeuner dans notre chambre d’hôtel. Nous avons ensuite passé la matinée à faire de l’école et avons passé un petit moment dans la piscine.
Après le repas, nous sommes ensuite partis avec la famille Tour retrouver la famille des crêpes en vadrouille au parc où l’on avait retrouvé les autres familles la veille. Petit problème: nous y sommes allés avec un autobus rouge, sans fenêtres. Autant vous dire que, à peine sortis de l’hôtel, nous étions déjà trempés.
Heureusement, une fois au parc, nous avons retrouvé les Crêpes en vadrouille et, coup de chance, Soizic, la maman, avait préparé des crêpes. Nous les avons bien savourées puis avons fait un match: les Gourmtrotters contre La famille Tour et les crêpes en Vadrouille. Au final, nous avons gagné (5-4) ! Le match terminé, nous sommes sortis du parc et, comme il était déjà assez tard, nous avons décidé de retourner manger dans le restaurant « Mary’s Restaurant » situé juste à côté de notre hôtel.
Dimanche 15 avril : On fuit Songkran à la campagne (Estelle)
L’eau ça mouille et Songkran après 3 jours, ça barbe. On décide donc de partir prendre l’air et de partir chercher un peu de quiétude à la campagne.
On se lève assez tôt : vers 7h30. Les Tour quittent ce matin Chiang Mai : nous les serrons forts, nous promettons de nous revoir à notre retour. Merlin et Saïk ressente vite le manque de leurs copains Tom et Clara. C’est clair, on ne les avait plus entendus se chamailler depuis notre arrivée à Chiang Mai. Mais là sans les copains, les disputes entre frères recommencent.
Elles ne vont pas durer longtemps. Un minibus privé nous attend à 10h > direction la campagne.
On passe prendre la famille des Crêpes en vadrouille au nord-ouest de la ville. Et c’est parti pour une partie de campagne à 10.
Premier arrêt à la fabrique d’ombrelles. C’est férié aujourd’hui, on ne verra pas les artisans au travail. On admire la collection d’ombrelles et leur joli dégradé de couleurs. Merlin est séduit, non pas par une ombrelle (c’est pour les filles ça 😉 mais par un drapeau thaïlandais > il va rejoindre sa collection de souvenirs de voyage.
On remonte en bus pour une bonne heure de route à travers rizières, bananeraies et collines de feuillus. Nous arrivons dans la jungle au village de Ban Mae Kapong. Ce petit hameau de montagne est très joli : des jolis chalets sur pilotis agrémentent la rue principale. On déambule un peu, mais pas trop : il fait très chaud et on a faim. On s’installe à une terrasse forte agréable. On mangera à 5, certes du riz frit, pour 220 Bath (soit 5 euros). Nous profitons de la terrasse aérée et le temps passe autour de discussions de voyageurs.
Quelques heures plus tard, on remonte dans le bus pour approcher une petite cascade (500 m plus haut) > c’était pas loin mais ça montait raide sur une route passante. La cascade n’a rien de fantastique et l’eau est sale. Personne ne se sent l’âme exploratrice. On reste au sec. Mais c’est l’occasion d’évoquer toutes les belles cascades explorées au cours de nos voyages respectifs. La discussion atterrit forcément en Argentine aux chutes d’Iguazu.
Allez, en voiture les loulous. On redescend… direction les Hot Springs ou sources chaudes et thermales de San Kamphaeng. Trente minutes de lacets avec un fried rice sur l’estomac…On est tous contents d’arriver au parc. C’est bien dans un parc aménagé qu’on arrive. Il est 15 heures, il tombe du feu. C’est chaud, chaud, chaud… Autant vous dire qu’on ne se précipite pas pour faire trempette (juste les pieds) dans l’eau souffré à 45 degrés. On tente quand même l’expérience.
On s’attarde un peu plus longtemps près du bassin à 100 degrés : on ne s’y baigne pas. On y trempe juste un petit panier pour y faire cuire 3 oeufs. Ça sent l’oeuf pourri… ce n’est pas la fraîcheur des oeufs qui est à mettre en doute, c’est la faute au soufre qui s’échappe de ces eaux thermales. Nos oeufs laissés 10 minutes comme à la maison, sont en définitive simplement mollet >> on n’aperçoit qu’après coup le panneau indiquant les temps de cuisson. Pour un oeuf dur, il aurait fallu attendre 20 minutes.
Il y a un bassin plus frais réservé aux enfants : notre petit Merlin et les 3 petits des crêpes s’y plongent avec bonheur.
Ce parc n’a rien d’extraodinnaire mais on a apprécié sa quiétude, ce qu’on était venu chercher.
On remet le cap sur Chiang Mai. Tous les enfants expriment des signes de fatigue. On décide de ne pas prolonger le temps passé ensemble aujourd’hui : les troupes respectives ont besoin de repos.
Le chauffeur du minibus nous dépose à l’hôtel un peu après 18h : on file tous les 5 nous rafraîchir à la piscine. Et devinez où on termine la soirée : au Mary’s restaurant forcément.
Lundi 16 avril : Repos, Travail et Cinéma (Saïk)
Aujourd’hui on s’est réveillé tout seuls pas besoin de se lever tôt. Nous avons ensuite décidé d’aller prendre le petit déjeuner dans notre petit bouiboui au bord de la route, au menu : pain maison avec une salade de fruits.
Puis nous avons travaillé. La garderie de mon école travaille sur les droits de l’enfants, maman nous avait donc demandé d’écrire un texte sur les droits de l’enfant dans les pays que nous avons visités. Merlin à fait deux lignes, Malo a décidé d’écrire un texte global tandis que moi j’ai décidé d’écrire une page sur les enfants en Argentine, une sur la Nouvelle Zélande et une en Australie. Nous avons aussi travaillé 1h (pour moi et Malo Merlin a seulement travaillé 10 minutes). Une fois terminés les devoirs nous avons fait 2-3 ploufs avant de manger des pâtes à l’hôtel avant que un taxi ne vienne nous chercher pour aller voir un film au ciné avec les crêpes en vadrouilles.
Finalement le film que nous voulions regarder était une 1h plus tard, les adultes nous ont donc offert une partie de simulateur de moto dans la salle de jeux vidéos à côté du ciné . Quand l’heure était venue d’aller voir le film nous sommes rendus dans la salle.
Nous avons vu Ready player One, le dernier Steven Spielberg. C’était un film de science fiction où les joueurs se perdent dans un monde virtuel. J’ai bien aimé le film : il était légèrement violent mais cool. Et surtout c’était en anglais et j’ai plutôt bien compris l’histoire.
C’était déjà l’heure de manger : nous avons partager 4 pizzas à 10 . Nous avons dit au revoir aux « Crêpes ».
J’avais le sentiment d’avoir vécu une courte journée mais j’étais quand même bien fatigué.
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